Veillée

Publié le 12 Janvier 2015

Un des moments de la journée que chaque scout attend avec impatience est la veillée. 

C'est un moment convial autour de deux feux. Un patrouile est chargée de faire le fil rouge, c'est à dire de diriger la veillée, répartir les roles, de faire le lien entre les intervetions des patrouilles et de choisir et diriger les chants.

Elle finit toujours par une prière et après cette dernière, c'est le silence de nuit jusqu'à l'Angelus du lendemain matin. 

Quand les patrouiles interviennent, on leur impose souvent une technique de veillée.

Il en existe plusieurs : 

Le sktetch 

C’est technique joyeuse pendant laquelle les scouts font des blagues en racontant une histoire en jouant sur l’accent, l’expression de visage, les déguisements, etc

Le choeur parlé

Chaque personnage a un timbre de voix qui ne change pas. Les scouts sont accroupis en ligne et ne se lèvent que pour parler. Le rire se fait sur les onomatopées, et le timbre inchangé de la voix.

L'opéra

C’est la même chose qu’un sketch mais chaque personnage chante son texte sur un air connu qui lui est propre (au clair de la lune, etc)

Le clic-clac

Les scouts sont derrière un drap qui s’abaisse quand le narrateur dit « clic » et se relève lorsqu’il dit « clac ». Entre les deux, les scouts ont pris une pause illustrant la scène.

Le mime

Avec ou sans narrateur, les scouts évoluent sur scène sans parler. Seul les onomatopées sont autorisées. Le jeu se fait sur les gestes et l’expression de visage.

Les gants blancs

Les scouts de la patrouille portent tous des gants blancs sauf le narrateur. Ils illustrent les paroles du narrateur en faisant des formes avec leurs mains. Cette technique nécessite une bonne obscurité.

Les ombres chinoises

Elle consiste à faire bouger sont corps entre un drap blanc et une source de lumière pour illustrer les paroles d’un narrateur.

 

Les ombres chèques

Elle consiste à faire bouger des objets entre un drap blanc et une source de lumière pour illustrer les paroles d’un narrateur.

Les marottes

Ce sont comme des marionnettes qu’on agite au-dessus d’un drap blanc en racontant une histoire.

 

Rédigé par Patrouille du Grand Labbe

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