Transmission
Publié le 12 Janvier 2015
Depuis toujours les hommes ont eu besoin de communiquer et parfois de manière discrète. N’ayant pas de portables ou d’emails, les scouts utilisent d’autres techniques pour communiquer principalement en Grand Jeu.
En voici quelques exemples :
Le morse
Le morse est le code scout le plus connu et le lus utilisé car il possède une grande polyvalence. En effet, il peut être utilisé de jour comme de nuit avec des signaux sonores, la nuit avec des signaux lumineux et peut être caché dans des messages.
Avant d’émettre, on fait un « ta » (signal long opposé au « ti » signal court). On émet ensuite en laissant des espaces plus ou moins grands entre les mots et les lettres.
Le code chinois
Le code chinois est moins connu mais facile à coder et à décoder.
Pour chaque voyelle on ajoute une barre horizontale et pour chaque consonne, une barre verticale
Le code chinois
Le code chinois est moins connu mais facile à coder et à décoder.
Pour chaque voyelle on ajoute une barre horizontale et pour chaque consonne, une barre verticale
Le sémaphore
Il était très utilisé au XVIIIème siècle. Aussi appelé « signaux à bras », il permet de transmettre un message très rapidement et à une grande distance à condition d’avoir de bonnes jumelles.
La CB
La CB (ou radio) est un moyen efficace de communiquer qui peut se faire même avec plusieurs centaines d’appareils en même temps si chacun l’utilise à bon escient et connait son protocole d’utilisation :
On commence toujours par dire à qui on s’adresse en utilisant l’alphabet international (voir plus bas) puis en disant qui on est. Ex : à Charlie Echo de Tanguy Zoulou
Celui qui a commencé la conversation la finie.
A la fin d’une phrase, on dit « à vous »
Un ordre donné fini par « Collationnez, à vous » et la réponse immédiate est : « à... de ... je collationne... (L’ordre est alors répété dans son intégralité).
On utilise pas le « je vous reçoit 5/5 » des films mais on précise la lisibilité et la puissance :
-fort, assez fort, faible, très faible
-clair, lisible, peu lisible, avec interférence.
Les mots courts comme oui, non sont remplacés par affirmatif et négatif.
L’alphabet international
L’alphabet international sert pour épeler des chiffres ou des mots avec précision.
Le sémaphore
Il était très utilisé au XVIIIème siècle. Aussi appelé « signaux à bras », il permet de transmettre un message très rapidement et à une grande distance à condition d’avoir de bonnes jumelles.
La CB
La CB (ou radio) est un moyen efficace de communiquer qui peut se faire même avec plusieurs centaines d’appareils en même temps si chacun l’utilise à bon escient et connait son protocole d’utilisation :
On commence toujours par dire à qui on s’adresse en utilisant l’alphabet international (voir plus bas) puis en disant qui on est. Ex : à Charlie Echo de Tanguy Zoulou
Celui qui a commencé la conversation la finie.
A la fin d’une phrase, on dit « à vous »
Un ordre donné fini par « Collationnez, à vous » et la réponse immédiate est : « à... de ... je collationne... (L’ordre est alors répété dans son intégralité).
On utilise pas le « je vous reçoit 5/5 » des films mais on précise la lisibilité et la puissance :
-fort, assez fort, faible, très faible
-clair, lisible, peu lisible, avec interférence.
Les mots courts comme oui, non sont remplacés par affirmatif et négatif.
L’alphabet international
L’alphabet international sert pour épeler des chiffres ou des mots avec précision.
Pour les chiffres, on utilise le code suivant :
un tout seul
un et un
deux et un
deux fois deux
trois et deux
deux fois trois
trois et quatre
quatre fois deux
quatre et cinq